“Le chat borgne, l’osselet gèant”
by Julien Blaine
Ainsi le livre à son origine (l’une d’elle) s’écrit avec un calame qui doit son nom au calamar l’un de mes frères céphalopodes.
Alors qui dicte nos textes ?
Qui les écrit ?
Kalmar c’est aussi le nom des écritoires aux XViie siècle.
(nous venons d’ailleurs. Cf. communications scientifiques)
Je reviens d’un pays aux fruits desséchés d’un peuple souriant dont on ne connait, ici, que les ayatollahs grincheux !
J’ai fini de traduire plus de 150 quatrains d’Omar Khayyâm Neyshaburi selon l’orthographe du mausolée aux poètes de ??? !
(vieille histoire ainsi bouclée – chez lui – en Perse)
à te dire encore à son propos et à propos de sa Robayat !
de son souffle
le Ch’i chinois dit ici nafa.
Dompter la main
Apprivoiser la bouche
et être poète et musicien.
Là-bas sur l’Arax :
le pont Bassanide de Khodafarin…
à Koy à 80 km de la frontière turque
on mange des autruches.
Elles sont au bord de la route dans des cages trop étroites et attendent la mort.
Tant de choses encore à te dire
dont quelques fables.
La cigogne et le laboureur (par exemple)
mais je la montrerai et te la dirai de vives voix.
Des monuments d’art contemporain, contemporain et populaire !
Et puis nous nous connaissons si bien toi et moique je ne te parlerai pas de religion(s)
néanmoins :
Il y a des ruches partout,
c’est aussi le pays du miel :
« Dégustez le miel Allah
et délaissez son ciel ! » (slogan)
La suite à plus tard
avec
Le chat borgne
l’osselet géant
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